Publié le 22 Décembre 2019

Bonnes fêtes de fin d'année !

Chères amies, chers amis,

Je viens de retrouver sur le blog un magnifique texte que Thay nous avait offert pour Noël 2012. Je vous le propose à nouveau, en vous souhaitant à tous et à toutes de merveilleuses fêtes ! 

"La période de Noël, dans la culture occidentale est un moment de l'année où tous les membres de la famille essaient de se réunir, où que l'on soit on essaie de revenir chez soi,  comme au nouvel an lunaire au Vietnam. Nous décorons notre maison pour qu’elle soit douillette et confortable. Nous rêvons tous d'avoir un foyer où nous nous sentons bien : alors, nous n'éprouvons pas le besoin de chercher ailleurs, nous ne poursuivons plus rien.

A la recherche de notre demeure

Dès sa naissance, Jésus Christ était un refugié sans maison. En grandissant, quand il devint  jeune homme, cette situation continua : il fut un vagabond sans véritable demeure. Dans un de ses discours  il affirma :"Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids ; mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête. » (Matthieu, 8 :20)

Siddhartha,  adulte, s'est trouvé dans une situation similaire. Né dans une famille royale,  riche, il pouvait avoir tout ce qu'il désirait ; il avait une belle femme, un fils très mignon et un avenir brillant devant lui. Il était destiné à devenir roi et à régner sur un grand empire ; mais il ne se sentais pas à l'aise, il ne se sentait pas chez lui.  C'est pourquoi il  dut quitter sa famille et partir à la recherche de sa véritable demeure, de la paix intérieure.


Tous deux, Jésus  et Siddhartha cherchaient leur vraie demeure. Ils voulaient trouver une demeure où ils n'auraient plus besoin de chercher quoique ce soit, où ils se sentiraient véritablement chez eux et en paix. Les occidentaux ont une expression « rien ne vaut son chez-soi"(« There is nothing like home ») exprimant le sentiment qu'il n'y a rien de mieux que de pouvoir revenir chez soi après en avoir été éloigné.  Mais pourtant nous ne nous sentons pas chez nous, même lorsque nous sommes avec notre famille, même dans notre maison parce que dans notre famille il n'y a pas suffisamment de chaleur, de paix, il n'y a pas assez d'amour.  Nous n'y sommes pas à l'aise. Nous n'y sommes  pas heureux.

Certains d'entre nous vivons dans notre pays natal et pourtant nous avons envie de partir pour aller vivre ailleurs. Nous sentons que nous n'avons pas de vraie demeure. Certaines personnes juives ressentent qu'elles n'ont pas de pays. Elles vagabondent et cherchent leur pays depuis des milliers d'années - un endroit, un morceau de terrain qu’elles puissent appeler  leur pays, et même de nos jours  ils n'ont pas encore trouvé ce pays.

Et nous les français, les anglais, les vietnamiens, les américains, nous sommes chez nous, dans notre pays, dans notre patrie mais nous ne sommes pas contents et nous avons envie d’aller ailleurs. C'est que nous n'avons pas encore trouvé notre véritable demeure, dans notre cœur. Cet hiver, même si nous achetons un sapin de Noel pour décorer notre maison cela ne signifie pas pour autant que nous ayons trouvé notre vraie demeure ou que nous nous sentions bien dans notre pays. Il doit y avoir l'amour, la chaleur et l'épanouissement pour que notre demeure soit un vrai "chez soi".

Notre véritable demeure

 Jésus Christ a finalement trouvé sa vraie demeure en son cœur. Il y a trouvé la lumière. Il a enseigné à ses disciples qu'eux aussi avaient leur propre lumière et leur a appris comment faire briller cette lumière pour que les autres puissent la voir. Bouddha Sakyamuni a enseigné que notre véritable demeure peut être trouvée dans le moment présent. Il nous a offert des pratiques très concrètes pour trouver celle-ci, nous rappelant qu' en chacun, chacune de nous il y a une île du soi, fiable, où nous sommes en sécurité et à laquelle nous pouvons  retourner pour entrer en contact avec tous nos ancêtres génétiques et spirituels, avec toutes les merveilles de la vie. Dans cette île du soi nous trouvons la paix et la plénitude.

 Siddhârta Gotama a trouvé sa vraie demeure et il voulait que chaque personne soit capable de la trouver aussi. Dans sa 80ème année, le  Bouddha sachant  que quelques mois plus tard il quitterait cette vie,  ressentit beaucoup de compassion pour ses  étudiants, pour ses amis parce que parmi eux il y en avait qui n'avaient pas encore trouvé leur vraie demeure. Si le Bouddha mourait,  c'était sûr, ils se sentiraient très seuls, très perdus. C'était pendant la retraite de trois mois de la saison des pluies, le Bouddha résidait à l'extérieur de la ville de Vaishali au nord du Gange. Durant cette retraite il tomba très malade.  L'intendant du Bouddha, le Vénérable Ananda pensa que son Maître mourrait très bientôt, et alla dans la forêt derrière un arbre pour se cacher et pleurer. Le Bouddha utilisa toute son énergie de concentration pour ralentir le processus de sa maladie et pour trouver la force de vivre quelques semaines de plus afin de pouvoir ainsi retourner dans sa ville natale, Kapilavastu, et y mourir paisiblement.

L'Île du Soi

A la fin de la retraite de la saison des pluies le Bouddha alla dans la ville de Vaishali pour rendre visite à ses disciples,  les moines, les moniales, les étudiants laïques qui pratiquaient dans leur propre sangha. Partout où il allait, il offrait un petit discours du Dharma qui durait cinq ou dix minutes. Le sujet de tous ses mini-discours était principalement centré sur le thème de la vraie demeure. Il savait bien qu'après son départ beaucoup de ses disciples se sentiraient très perdus et très seuls. Le Bouddha  leur enseigna qu'il y a un endroit de refuge en eux-mêmes et que c'était le seul endroit où ils pouvaient et devaient prendre refuge.

Nous aussi, devons prendre refuge dans cette demeure et ne  prendre refuge en personne d'autre ni en rien d'autre. Cet endroit de refuge est "l'île du soi", c'est le Dharma authentique, là où nous pouvons trouver la paix, la protection, nos ancêtres et nos racines. C'est notre véritable demeure - notre île intérieure - où se trouve la lumière du vrai Dharma. On y retourne pour avoir la lumière, la sécurité parce que cette île n'est pas emportée par les vagues de l'océan. Prendre refuge dans son île du soi, dans son île intérieure est une pratique très importante.


Nous avons une chanson au Village des Pruniers intitulée "Retourner dans notre île intérieure". Cette chanson est à propos de la pratique du refuge en  soi-même. Si nous sentons que nous ne sommes pas rentré chez nous, que nous cherchons encore notre patrie ou que nous nous sentons seul alors cette pratique est pour nous. Cette chanson peut nous aider à nous rappeler cette pratique : prendre refuge dans l'île intérieure.

La pratique, notre refuge

Vers le 4ème ou 5ème siècle lorsque ces mini-enseignements ont été traduits en chinois, les moines ont traduit l'île du soi comme "tự châu" ("tự" est soi et "châu" est île). "Chers moines, retournez à votre île du soi pour y prendre refuge et sachez comment y revenir". Ce sont les mots du Bouddha avant qu'il ne meure.

Si nous nous considérons comme les âmes sœurs du Bouddha, comme de vrais étudiants du Bouddha, et que nous suivons ses enseignements alors nous devrions suivre son conseil et trouver cette vraie demeure et ne pas la chercher dans l'espace et dans le temps. Nous devons la trouver dans notre propre cœur et là il y a tout ce dont nous avons besoin. C'est là où nous allons rencontrer tous nos ancêtres génétiques et spirituels, et entrer en contact avec nos racines, notre héritage. Nous allons y trouver la paix, la sécurité, la lumière de la sagesse. Prenons refuge dans notre île intérieure, prenons refuge dans l'île du Dharma, dans rien ni personne d'autre, y compris Thầy.

L'amour du Bouddha est immense. Il savait que beaucoup de ses étudiants allaient se sentir perdus, seuls après son départ et il leur rappelait que ce corps n'est pas quelque chose de permanent, ni d'éternel. Il leur enseignait que le plus important pour eux était de prendre refuge dans leur île intérieure. Nous savons qu'elle est toujours là pour nous. Nous n'avons pas besoin de prendre un avion, un train ou un autobus pour y aller, mais grâce à notre respiration en pleine conscience et nos pas en pleine conscience, nous pouvons y être immédiatement. Notre île intérieure est notre vrai refuge. C'est notre pratique du Dharma.
 
A Noel si vous achetez un sapin pour décorer votre maison sachez que votre vraie demeure ne se trouve pas à l'extérieur de vous mais à l'intérieur de votre cœur. Nous n'avons pas besoin de ramener quelque chose chez nous pour nous y sentir bien. Nous avons tout ce dont nous avons besoin dans notre cœur. Nous n'avons pas besoin de pratiquer de nombreuses années ou de voyager loin pour y retourner. Si nous savons comment faire, si nous savons comment utiliser l'énergie de la  pleine conscience et de la concentration alors on peut y revenir tout de suite à chacun de nos pas, à chacune de nos respirations.

Notre vraie demeure n'est pas un lieu lointain séparé par le temps et l'espace. Ce n'est pas quelque chose que nous pouvons acheter.  Elle peut être présente dans le moment présent si nous savons comment faire.

Chez soi dans le moment présent
 

Il y a quelques jours, Thầy pensait au message qu'il souhaitait envoyer à ses ami(e)s et étudiant(e)s pour qu'ils puissent fait comme Jésus ou comme le Bouddha.  Thầy a écrit cette calligraphie :

"Il n'y a pas un chemin à chercher pour aller chez soi,
Notre chez-soi est le chemin. »
 
Cela signifie que  le chemin et l'outil ne sont pas deux choses séparées. "Il n'y a pas de chemin à chercher pour aller  chez soi" Notre "chez soi" est le chemin. Quand nous faisons un pas sur ce chemin alors nous nous sentons chez nous tout de suite, à ce moment précis. C'est très authentique, c'est la pratique du village des Pruniers. Il n'y a aucun chemin menant au bonheur, le bonheur est le chemin. Récemment Thay a également partagé lors d'un de ses enseignements qu'il n'y a aucun chemin menant au Nirvana, le Nirvana est le chemin. Chaque pas, chaque respiration est capable de nous ramener chez nous, dans l'ici et le maintenant. C'est la pratique fondamentale du Village des Pruniers.

C'est le message que Thầy veut envoyer à tous ses amis et étudiants durant cette saison de Noel. Si vous voulez envoyer des vœux à vos ami(e)s et bien-aimé(e)s vous pouvez envoyer ce message. Si vous pouvez le pratiquer véritablement, alors votre envoi aura une signification profonde ; mais si vous ne le pratiquez pas, alors ce message n'aura aucune valeur.
 

Réjouissons-nous de notre pratique de revenir chez soi en cette saison de fêtes. Soyons véritablement dans notre "chez soi" et devenons ainsi une maison pour nos bien-aimé(e)s et tous nos ami(e)s.

Avec confiance et amour"

Thầy

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Rédigé par Chemindeveil

Publié le 4 Décembre 2019

L’art de Bénir

 

«… Au réveil, bénissez votre journée, car elle déborde déjà d’une abondance de biens que vos bénédictions font apparaître. Car bénir signifie reconnaître le bien infini qui fait partie intégrante de la trame même de l’univers. Il n’attend qu’un signe de vous pour se manifester.

 

En croisant les gens dans la rue, dans le bus  sur votre lieu de travail, bénissez-les tous. La paix de votre bénédiction sera la compagne de leur chemin, et l’aura de son discret parfum une lumière sur leur route ; Bénissez ceux que vous rencontrez dans leur santé, dans leur travail, leur joie, leur relation au divin, à eux-mêmes et aux autres.

 Bénissez-les dans leur abondance et dans leurs finances. Bénissez-les de toutes les façons concevables, car de telles bénédictions ne sèment pas seulement les semences de la guérison, mais un jour jailliront comme autant de fleurs de joie dans les espaces arides de votre propre vie.

En vous promenant, bénissez votre village et votre cité, ceux qui la gouvernent et ses enseignants, ses infirmières et ses balayeurs, ses prêtres et ses prostituées.

 A l’instant même où quelqu’un exprime la moindre agressivité, colère ou manque de bonté à votre égard, répondez avec une bénédiction silencieuse.

Bénissez-les totalement, sincèrement, joyeusement, car de telles bénédictions sont un bouclier qui les protège de l’ignorance de leurs méfaits, et détourne la flèche qui vous est adressée..

 

Bénir signifie désirer et vouloir inconditionnellement, totalement et sans réserve aucune le bien illimité- pour les autres et les événements de la vie- en puisant aux sources les plus profondes et les plus intimes de votre être.

Cela signifie révérer et considérer avec un émerveillement total ce qui est toujours un don du Créateur- et cela quelles que soient les apparences.

 Celui qui est porté par votre bénédiction est mis à part, consacré, entier.

 Bénir signifie invoquer la protection divine sur quelqu’un ou quelque chose, penser avec une reconnaissance profonde à elle, l’évoquer avec gratitude ; Cela signifie encore appeler le bonheur sur quelqu’un- encore que nous ne soyons jamais la source de la bénédiction, mais simplement le témoin joyeux de l’abondance de la vie.

 

Bénir tout et tous, sans discrimination aucune, constitue la forme ultime du don, car ceux que vous bénissez ne sauront jamais d’où vient ce rayon de soleil  qui soudain perça les nuages de leur ciel, et vous serez rarement témoin de cette lumière dans leur vie.

 

Quand dans votre journée quelque inattendu vous bouleverse, vous autant que vos plans, éclatez en bénédictions, car la vie est en train de vous apprendre une leçon, même si la coupe peut vous sembler amère.Car cet événement que vous pensez être si indésirable, vous l’avez en fait suscité, afin d’apprendre la leçon qui vous échapperait si vous hésitiez à la bénir. Les épreuves sont des bénédictions cachées, et des cohortes d’anges suivent leurs traces.

 

Bénie signifie reconnaître une beauté omniprésente cachée aux yeux matériels. C’est activer la loi universelle de l’attraction qui, du fond de l’univers, amènera dans votre vie exactement ce dont vous avez besoin dans le moment présent pour grandir, progresser, et remplir la coupe de votre joie.

 

Quand vous passerez devant une prison, bénissez ses habitants dans leur innocence et leur liberté, leur bonté, la pureté de leur essence et leur pardon inconditionnel. Car on ne peut qu’être prisonnier de l’image qu’on a de soi-même, et un homme libre peut marcher sans chaînes dans la cour d’une prison, tout comme les citoyens d’un pays libre peuvent être prisonniers quand la peur se tapit dans leur pensée.

 

Quand vous passez devant un hôpital, bénissez ses patients dans la plénitude de leur santé, car même dans leur souffrance et leur maladie, cette plénitude attend simplement d’être découverte. Et quand vous voyez une personne en pleurs ou apparemment brisée par la vie, bénissez-la dans sa vitalité et sa joie : car les sens ne présentent que l’inverse de la splendeur et de la perfection ultimes que seul l’œil intérieur peut percevoir.

 

Il est impossible de bénir et de juger en même temps ; Alors maintenez en vous ce désir de bénir comme une incessante résonance intérieure et comme une perpétuelle prière silencieuse, car ainsi vous serez de ceux qui procurent la paix, et un jour, vous découvrirez partout la face même de dieu.

 

PS) Et par-dessus tout, n’oubliez pas de bénir cette personne merveilleuse, totalement belle dans sa vraie nature, et si digne  d’amour que vous êtes…. »

 

Extraits de « Vivre sa spiritualité au quotidien » de Pierre Pradervand. Ed. Jouvence

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Rédigé par Chemindeveil

Publié le 2 Décembre 2019

Chères amies, chers amis,

La prochaine journée de pratique organisée par les Sanghas de Roanne et Amplepuis, aura lieu le samedi 7 décembre de 10h à 17h dans les locaux du centre de détente et de relaxation, 15 rue St André à Roanne (voir le plan en fin d'article).

  • L'accueil à lieu à partir de 9h30, début de la pratique à 10h précises.
  • Le repas sera pris en commun en partageant les plats végétariens (salés ou sucrés) que chacun aura apporté
  • Pensez à apporter le nécessaire pour prendre le repas (assiette, couverts, serviette, verre et/ou tasse pour le thé), un tapis et/ou une couverture pour la relaxation et votre coussin ou banc de méditation pour l'assise, des chaussettes épaisses en hiver.
  • La participation est de 5€ pour la journée (3€ pour les adhérents à l'association chemin d'éveil).
  • Il n'est pas nécessaire de s'inscrire mais pensez à venir en avance si vous ne connaissez pas les lieux car la pratique débutera à 10h précises.

 

Il n'est pas nécessaire de s'inscrire pour participer à la journée.

Dans la joie de nous retrouver,

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Rédigé par Chemindeveil

Publié le 30 Novembre 2019

Chère Sangha,

Notre prochaine journée de pratique sur Lyon aura lieu Dimanche 15 Décembre de 10h à 17h dans un nouveau lieu avec une belle grande salle lumineuse, le "Grand moulin de l'Yzeron",  situé chemin du grand moulin sur la commune de Francheville, voir le plan en fin de cet article.

  • L'accueil aura lieu à partir de 9h30, début de la pratique à 10h précises.
  • Le repas sera pris en commun en partageant les plats végétariens que chacun aura apporté
  • Pensez à apporter le nécessaire pour prendre le repas (assiette, couverts, serviette, verre et/ou tasse pour le thé), un tapis et/ou une couverture pour la relaxation et votre coussin ou banc de méditation pour l'assise, des chaussettes épaisses en hiver.
  • La participation est de 8€ pour la journée (5€ pour les adhérents à l'association chemin d'éveil).
  • Il n'est pas nécessaire de s'inscrire mais pensez à venir en avance si vous ne connaissez pas les lieux car la pratique débutera à 10h précises.

 

Dans la joie de nous retrouver,

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Rédigé par Chemindeveil

Publié le 17 Novembre 2019

Un nouveau lieu pour les Journées de PC

Chère Sangha,

Un nouveau lieu est disponible pour nos JPC : c'est une belle salle lumineuse que nous louerons à l'association "les grandes terres", qui vient de reprendre le "grand moulin de l'Yzeron" auparavant lieu de découverte de la nature,et local de la ligue de protection des oiseaux.

Vous pouvez voir des photos sur le site "les grandes terres".

Il est situé sur la commune de Francheville,69340, chemin du grand moulin, sans n°.

On peut y acceder depuis Craponne ,environ 500m aprés l'arrêt "La Tourette"du bus 73 ou du C24 venant de Lyon, en suivant la rue Marcel Plasse jusqu'au ruisseau de l'Yzeron, qui fait limite entre Francheville et Craponne (voir plan plus bas).

Nous avons retenu les dates suivantes:

  • dimanche 15 décembre 2019

  • samedi 18 janvier 2020

  • dimanche 9 février

  • samedi 14 mars

  • dimanche 5 avril

  • samedi 16 mai

  • samedi 13 juin 2020

 

Au plaisir de se retrouver dans la pratique,

Brigitte R.

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Rédigé par Chemindeveil